
L’homme de cette Grèce asiatique, marteau en main, immobile et silencieux, engage sa vie. Attentif ; perdu dans sa concentration comme le sauteur au seuil de l’élan, il s’est attelé à la magique tâche. C’est ainsi depuis que nous avons pris conscience de notre fin. Il nous faut laisser une trace, des marques.
Au symposium de sculpture, comme les athlètes, ils sont venus de toutes les nations : l’ombre et la lumière n’ont pas de frontières. L’œil et la main parlent pour leur bouche, entre eux et pour nous. Sous les tours du village olympique, il frappe, perdu dans sa méditation, rêvant que les lignes burinées sur ce mur, contribueront à la tolérance et à la paix.


Pour en savoir plus sur le sculpteur et son mur qu'il a nommé "Microcosmes, macrocosme", vous pouvez vous référer aux autres articles de ce blog en cliquant sur le mot mizui dans l'index.
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